Portraits Résidences Réseau Social Généalogie Œuvres Sépulture Wikipedia Héritage PAGE EN CONSTRUCTION - PATIENCE !!!!! QUI SONT SES AMIS PRÔCHES? Apprenez à les reconnaitre. Vous découvrirez leurs noms en survolant avec votre souris sur les différents portraits Napoléon BONAPARTE Remarqué par le général Bonaparte, il devient son aide de camp, puis le Premier consul lui confie plusieurs missions spéciales. En 1803, il dénoue le complot de Cadoudal avant de tenir le premier rôle dans l'exécution du duc d'Enghien en mars 1804. Proche du Premier consul et de sa famille, il épouse une parente de Joséphine de Beauharnais. Il remplacera Fouché au ministère de la Police lorsque ce dernier sera congédié. Joséphine de BEAUHARNAIS, Impératrice, Reine Proche du Premier consul et de sa famille, Savary est fréquemment invité aux fêtes au château de Malmaison. Il y rencontre Félicité de Faudoas, âgée de dix-sept ans, parente éloignée de Joséphine de Beauharnais, amie de classe de sa fille Hortense. Avec l'accord du Premier Consul, ils se marient le 27 février 1802 et, à la fin de l'année 1802, ont une fille, Joséphine-Hortense. Joachim MURAT, Maréchal d'Empire, Roi de Naples Tous deux sont des pièces rapportées par alliance au couple impérial. Murat car il a épousé Caroline, la sœur de Napoléon, et Savary car il a épousé une cousine de Joséphine. Savary remplacera Murat à Madrid, juste après la fameuse révolte du 2 mai, Murat doit coordonner la répression, mais celui-ci tombe malade et se révèle incapable de diriger les armées françaises sur place. L'Empereur ordonne alors à Savary de le remplacer. Tandis que la maladie de Murat s'aggrave, Savary s'acquitte tant bien que mal de sa mission. Hortense de BEAUHARNAIS, Reine consort de Hollande Proche du Premier consul et de sa famille, Savary est fréquemment invité aux fêtes au château de Malmaison. Il y rencontre Félicité de Faudoas, âgée de dix-sept ans, parente éloignée de sa mère Joséphine de Beauharnais, amie de classe d’Hortense. Avec l'accord du Premier Consul, ils se marient le 27 février 1802 et, à la fin de l'année 1802, ont une fille, Joséphine-Hortense. Napoléon Louis Bonaparte Proche du Premier consul et de sa famille, Savary est fréquemment invité aux fêtes au château de Malmaison. Il y rencontre Félicité de Faudoas, âgée de dix-sept ans, parente éloignée de Joséphine de Beauharnais, amie de classe de sa sœur Hortense. Avec l'accord du Premier Consul, ils se marient le 27 février 1802 et, à la fin de l'année 1802, ont une fille, Joséphine-Hortense. Juliette RÉCAMIER, Salonnière Connaissance Savary, lorsqu’il remplaça Fouché au ministère de la police, mit un certain zèle à faire appliquer la décision de Napoléon d’exiler Germaine de Staël. Il n’eut donc pas les faveurs de toute la bande de Coppet qui soutenait la Baronne. Puis, Juliette fut exilée à son tour à cause de ses relations avec Germaine de Staël. C’est Savary, ministre de l’intérieur, qui se chargea de transmettre au préfet Pasquier les ordres de Napoléon. François-René CHATEAUBRIAND, Écrivain, Politicien, Diplomatie Connaissance Lucien BONAPARTE, Politicien, Prince de Canino Ministre de l'Intérieur Élisa BONAPARTE BACCIOCHI, sœur de Napoléon Connaissance Germaine de STAËL, Écrivain, Intellectuelle Savary, lorsqu’il remplaça Fouché au ministère de la police, mit un certain zèle à faire appliquer l’exil de Germaine de Staël. Il veilla également sur la production théâtrale : de nombreuses pièces furent interdites. L'exemple le plus célèbre est la décision du duc de Rovigo d'interdire l'ouvrage de Mme de Staël, « De l'Allemagne », avant même que le conseil de censure ne rende son verdict. Aux yeux de Savary, ce livre commet la double faute : glorifier le peuple allemand, et passer sous silence les succès militaires français contre la Prusse. François-Christophe KELLERMANN, Politicien, Militaire Maréchal d'Empire Louis de BOURBON- CONDÉ, duc d’Enghien, Militaire Le duc d'Enghien, impliqué dans le complot Cadoudal, Pichegru, Moreau est condamné à mort pour son implication dans cette affaire. Le duc nia fermement, mais reconnut combattre la République. Le Duc demanda à voir Napoléon, mais Savary le lui aurait refusé. Il fut fusillé les fossés du château de Vincennes par un piquet de gendarmes d'élite, en présence de Savary leur commandant. Savary consacre plusieurs pages de ses mémoires au récit des événements ayant conduit à cette exécution et s'y donne un rôle très secondaire. Jean- Jacques Régis de CAMBACÉRÈS, Second Consul Connaissance Collaborateur au gouvernement Joseph FOUCHÉ, Ministre de la Police En 1810, à la suite d'une nouvelle trahison de Fouché, qui engage à Londres des pourparlers de paix avec Wellesley par l'intermédiaire du banquier Ouvrard, le ministre est démis de ses fonctions. L’Empereur veut une police à ses ordres, et nomme son plus fidèle serviteur, le général Savary, commandant de la gendarmerie d'élite. Fouché sabotera son ministère avant de le lui transmettre. Jean-Baptiste KLEBER, Militaire Compagnons d'armes. Tous deux furent de la campagne d'Égypte. Louis Antoine Fauvelet de BOURIENNE, Diplomate, Politicien Connissance Secrétaire de NApoléon Charles Pierre AUGEREAU, Maréchal d’Empire Maréchal de France Jean-Baptiste Jules BERNADOTTE, Militaire, Maréchal d'Empire, Roi Maréchal d'Empire Louis-Alexandre BERTHIER, Ministre de la Guerre Maréchal d'Empire Compagnon d'armes, en particulier durant la campagne d'Égypte. Emmanuel de GROUCHY, Militaire Maréchal d'Empire Louis Charles Antoine DESAIX, Militaire Rapp et Savary furent les aides de camp dévoués de Desaix. Desaix était aimé par ses hommes. Rapp et Savary rejoignirent l’état major de Bonaparte lors de sa mort de à Marengo pour devenir aide de camp du Premier consul Michel DUROC, Militaire, Grand Maréchal du Palais de Napoléon I Compagnons d'armes Jean LANNES, Militaire Maréchal d'Empire Dominique-Jean LARREY, Chirurgien André MASSENA, Militaire Maréchal d'Empire Jean Victor Marie MOREAU, Militaire Compagnons d'Armes Michel NEY, Militaire Maréchal d'Empire, Surnommé « l’infatigable », orgueilleux, Ney n’avait peur de rien. Son épouse était une amie d’Hortense de Beauharnais. Savary fut son témoin. À Fontainebleau, il pressa l’Empereur d’abdiquer et se rallia aux Bourbons. Premier maréchal à abandonner Napoléon, nommé pair de France par Louis XVIII, mais fut condamné à mort suite à son action durant les 100 jours où partit pour ramener Bonaparte « dans une cage de lions » il se rallia à lui Józef Antoni PONIATOWSKI, Militaire Maréchal d'Empire Jean RAPP, Militaire, Politicien Rapp et Savary furent ses aides de camp dévoués car Desaix. Il était aimé par ses hommes. Rapp et Savary rejoignirent l’état major de Bonaparte lors de la mort de Desaix à Marengo pour devenir aide de camp du Premier consul Jean-de-dieu SOULT, Politicien, Militaire Maréchal d'Empire Louis-Gabriel SUCHET, Militaire Maréchal d'Empire Pierre de VILLENEUVE, Militaire Amiral Alexandre ROMANOV, dit ALEXANDRE Ier Général de division en 1805, Savary participe à la campagne de Prusse. À la suite de la paix de Tilsit de juillet 1807, il est envoyé comme plénipotentiaire à Saint-Pétersbourg, où il doit surveiller notamment, l'application de la mise en place du blocus continental. Malgré une amabilité de façade, le tsar Alexandre Ier lui ferme ses portes, marquant ainsi son hostilité à l'envoyé de Napoléon, représentant d'une nation révolutionnaire, et surtout au « bourreau de Vincennes », à l'assassin d'un prince de sang royal. Joseph BONAPARTE, Roi de Naples, Roi d’Espagne Fait duc de Rovigo en 1808, il part pour l'Espagne, où il commande les forces françaises jusqu'à l'arrivée de Joseph Bonaparte. Le 27 mars 1814, l'impératrice Marie-Louise et Joseph Bonaparte décident de quitter la ville avec le roi de Rome, contre l'avis de certains ministres dont Savary. Le 30 mars 1814, à la suite d'une habile manœuvre pour rester dans la ville, Talleyrand négocie avec le maréchal Marmont la reddition de la ville tandis que Savary rejoint Marie-Louise à Blois. Napoléon Ier abdique à Fontainebleau le 6 avril. MARIE- LOUISE, Impératrice des Français Le 27 mars 1814, l'impératrice Marie-Louise, Joseph Bonaparte et Cambacérès décident de quitter la ville avec le roi de Rome, contre l'avis de certains ministres dont Savary. Celui-ci bien qu'il s'en défende dans ses mémoires, autorise l'ancien comploteur Talleyrand à rester à Paris. En effet, le 30 mars 1814, à la suite d'une habile manœuvre pour rester dans la ville, Talleyrand négocie avec le maréchal Marmont la reddition de la ville tandis que Savary rejoint Marie-Louise à Blois. Napoléon Ier abdique à Fontainebleau le 6 avril. LOUIS XVIII, Louis Stanislas Xavier de FRANCE, Roi de France et de Navarrei Durant les Cent-Jours, Savary est chargé de la gendarmerie ; fait prisonnier par les Anglais après Waterloo, puis remis aux Autrichiens, il est condamné à mort par contumace par la justice de la Restauration en 1816 et s'exile dans l'Empire ottoman. Rejugé à sa demande en 1819, il est innocenté et rétabli dans ses titres, mais mis à la retraite. LOUIS-PHILIPPE Ier, Louis-Philippe d’ORLÉANS, Roi des Français De Rome où il est en exil, il apprend la chute de Charles X et l'avènement de la monarchie de Juillet le 31 juillet 1830. Le duc s'empresse de regagner la France faire allégeance au nouveau roi, Louis-Philippe Ier. Grâce au soutien du ministre des Affaires étrangères, Horace Sébastiani, grand ami de la duchesse de Rovigo, et à l'approbation du roi des Français, Savary est de nouveau autorisé à paraître à la Cour. En 1831, Savary aura une dernière occasion de servir : il participe comme commandant en chef à la conquête de l'Algérie. Malade, il rentre à Paris. Louis Charles Antoine DESAIX, Militaire, Général de division Savary fut nommé aide de camp du général Desaix qu’il suit pendant cinq ans, d’abord à l’armée du Rhin, puis de 1798 à 1800 à l’armée d'Orient au cours de la campagne d'Égypte. Savary commande les troupes du débarquement de la division Desaix lors de la prise de Malte9, puis d'Alexandrie9, et participe à la bataille des Pyramides. Il sert encore sous les ordres de Desaix lors de la deuxième campagne d'Italie, jusqu'à la bataille de Marengo où le général trouve la mort. Jean-Charles PICHEGRU Bénéficiant de l'émigration de nombre d'officiers, Savary est promu sous-lieutenant en septembre 1791. En 1792 il sert dans l'armée du général Custine qui affronte le duc de Brunswick. À la suite de cette campagne, il devient capitaine ; il est nommé officier d'ordonnance du général Pichegru, puis du général Moreau au cours des campagnes du Rhin. En 1793, il assiste aux batailles de Berstheim et de Wissembourg ainsi qu'à la levée du siège de Landau. Jean Victor Marie MOREAU, Militaire En octobre 1803 le service de Savary révèle l'existence d'un projet d'enlèvement du Premier consul, organisé par Cadoudal. Savary s'introduit habilement dans le lieu de réunion des comploteurs, Biville, en Normandie. Le complot implique aussi le général Pichegru et le général Moreau. Pichegru est arrêté et se suicide le 4 avril 1804 au Temple où il est emprisonné, tandis que Moreau est banni. Cadoudal, arrêté le 9 mars 1804, est condamné à mort et guillotiné le 25 juin 1804. Georges CADOUDAL, Général Chouan En octobre 1803 le service de Savary révèle l'existence d'un projet d'enlèvement du Premier consul, organisé par Cadoudal. Savary s'introduit habilement dans le lieu de réunion des comploteurs, Biville, en Normandie. Le complot implique aussi le général Pichegru et le général Moreau. Pichegru est arrêté et se suicide le 4 avril 1804 au Temple où il est emprisonné, tandis que Moreau est banni. Cadoudal, arrêté le 9 mars 1804, est condamné à mort et guillotiné le 25 juin 1804. Armand de CAULAINCOURT, Militaire, Diplomate Général de division en 1805, Savary participe à la campagne de Prusse. À la suite de la paix de Tilsit de juillet 1807, il est envoyé comme plénipotentiaire à Saint-Pétersbourg. S’il parvient, très progressivement, à se faire tolérer dans la bonne société russe, Savary reste très mal à l'aise. Ses habitudes, sa franchise et son goût pour l'action s’harmonisent mal avec sa fonction de diplomate. L'Empereur décide de le rappeler à Paris avant la fin de l'année 1807 pour le remplacer par Caulaincourt, diplomate de métier. Ferdinand VII d'Espagne Napoléon veut profiter de la mésentente de Charles IV et Ferdinand VII, son fils, pour s’emparer du pays, mettre son frère Joseph sur le trône et organiser plus efficacement le blocus économique contre les Anglais. Savary jouera important dans la destitution des monarques espagnols. Il fut le messager de Napoléon pour orchestrer de fausses promesses aux monarques espagnols et transmettre les messages à Murat déjà sur place. Charles IV d'Espagne Napoléon veut profiter de la mésentente de Charles IV et Ferdinand VII, son fils, pour s’emparer du pays, mettre son frère Joseph sur le trône et organiser plus efficacement le blocus économique contre les Anglais. Savary jouera important dans la destitution des monarques espagnols. Il fut le messager de Napoléon pour orchestrer de fausses promesses aux monarques espagnols et transmettre les messages à Murat déjà sur place. Hugues- Bernard MARET, Politicien, Diplomate En dépit de ces efforts pour accroître la puissance et l'autorité de la Police impériale, Savary est ramené à ses prérogatives par Napoléon à chaque fois qu’il entre en conflit avec les autres ministères : par exemple, il entre en contentieux avec le ministre des Affaires étrangères, Maret, au sujet de la surveillance des diplomates résidant à Paris. L'Empereur arbitre souvent ces conflits en sa défaveur. Auguste Frédéric Louis Viesse de MARMONT, Militaire Fait duc de Rovigo en 1808, il part pour l'Espagne, où il commande les forces françaises jusqu'à l'arrivée de Joseph Bonaparte. Le 27 mars 1814, l'impératrice Marie-Louise et Joseph Bonaparte décident de quitter la ville avec le roi de Rome, contre l'avis de certains ministres dont Savary. Le 30 mars 1814, à la suite d'une habile manœuvre pour rester dans la ville, Talleyrand négocie avec le maréchal Marmont la reddition de la ville tandis que Savary rejoint Marie-Louise à Blois. Napoléon Ier abdique à Fontainebleau le 6 avril. Louis XVIII Savary souffre d'une très mauvaise réputation chez les royalistes, qui lui reprochent son rôle dans la mort du duc d'Enghien. En 1823, il publie sa version des faits dans des extraits de ses mémoires, où il prouve la responsabilité initiale de Talleyrand. Ce dernier répond habilement par une campagne de presse efficace. Il bénéficie de l'approbation de la Cour. Talleyrand l'emporte, le roi prend officiellement son parti et interdit au duc de Rovigo de se présenter à nouveau au palais des Tuileries. Le duc est mis à la retraite, à l'âge de 49 ans, le 3 décembre 1823. Jean-Andoche JUNOT, duc d’ABRANTÈS, Militaire Compagnon d'armes, en particulier durant la campagne d'Égypte. Pierre de VILLENEUVE, Militaire Contre-Amiral Compagnon d'armes, en particulier durant la campagne d'Égypte. Auguste Frédéric Louis Viesse de MARMONT, Militaire Compagnon d'armes, en particulier durant la campagne d'Égypte. Dominique-Jean LARREY, Chirurgien Jean RAPP, Militaire, Politicien Compagnons d'armes. Tous deux furent de la campagne d'Égypte ainsi que les aides de camp du général Desaix durant la campagne d’Italie où ce dernier trouva la mort à Marengo. Bonaparte récupéra auprès de lui les deux jeunes hommes très affectés par la mort de leur général comme aide de camp. Jean LANNES, Maréchal d'Empire Compagnon d'armes, en particulier durant la campagne d'Égypte. Thomas Alexandre Davy de La Pailleterie, dit le général DUMAS, Militaire, Général de division Compagnon d'armes, en particulier durant la campagne d'Égypte. Gaspard MONGE, Mathématicien, Politicien Tous deux se rencontrèrent en Égypte, l’un pour la campagne militaire, l’autre pour l’expédition scientifique Claude Louis BERTHOLLET, Chimiste Tous deux se rencontrèrent en Égypte, l’un pour la campagne militaire, l’autre pour l’expédition scientifique Nicolas-Jacques CONTÉ, Peintre, Physicien, Ingénieur, Chimiste, Aéorostier Tous deux se rencontrèrent en Égypte, l’un pour la campagne militaire, l’autre pour l’expédition scientifique Étienne-Denis PASQUIER, Préfet de police Préfet de Paris de Paris, en 1812, Pasquier ne parvient pas empêcher le complot des généraux Malet et Lahorie, il est arrêté et conduit tout comme Savary à la prison de la Force, dont il ne sort que grâce à l'intervention du général Hulin. Malgré cet incident, il est maintenu en fonctions et sert Napoléon Ier avec zèle, sinon avec efficacité.