Portraits Résidences Réseau Social Généalogie Œuvres Sépulture Wikipedia Héritage PAGE EN CONSTRUCTION - PATIENCE !!!!! QUI SONT SES AMIS PRÔCHES? Apprenez à les reconnaitre. Vous découvrirez leurs noms en survolant avec votre souris sur les différents portraits Juliette RÉCAMIER, Salonnière Connaissance François-René CHATEAUBRIAND, Écrivain, Politicien, Diplomatie Conaissance Lucien BONAPARTE, Politicien, Prince de Canino https://aline-voinot.com/wp-content/uploads/2020/11/PPV-LECLERC-Charles.png Élisa BONAPARTE BACCIOCHI, sœur de Napoléon Connaissance Lazare CARNOT, Physicien, Mathématicien, Politicien Connaissance Gaspard MONGE, Mathématicien, Politicien Connaissance Napoléon BONAPARTE, Napoléon I , Empereur, Roi Conseiller proche Proche conseiller de Napoléon, Fouché le trahira à de multiples reprises. Napoléon s’en méfiait : en 1808, complot pour nommer Murat à la place de l’Empereur s’il lui arrivait malheur pendant la guerre d’Espagne, en 1810 Fouché engage à Londres des pourparlers de paix avec Wellesley par l'intermédiaire du banquier Ouvrard à l’insu de l’Empereur, le ministre est démis de ses fonctions, en 1815, il offrit avec Murat, au comte d'Artois, le futur Charles X, la lieutenance générale du royaume après la défaite impériale. Caroline BONAPARTE, Reine de Naples Durant la guerre d’Espagne, Napoléon se rendit à Madrid pour démêler la situation complexe. Fouché en profita avec Talleyrand pour tenter de placer sur le trône Murat, beau-frère de l'Empereur, poussé par sa femme Caroline, comptant bien exercer en sous-main le pouvoir. Cette mascarade prend fin au retour de Napoléon. Fouché est disgracié, Talleyrand s’en sortit provisoirement, mais Napoléon réprimanda ouvertement Murat et sa sœur Caroline. Joachim MURAT, Militaire, roi de Naples Fouché trahit l'Empereur de multiples fois avec la complicité de Murat : en 1808, Talleyrand et Fouché avaient prévu de remplacer Napoléon par Murat au cas où il arriverait malheur à l’Empereur pendant la guerre d’Espagne 1814, par ailleurs, tous deux se trouvèrent à Paris pour offrir au comte d'Artois, le futur Charles X, la lieutenance générale du royaume après la défaite impériale. Jérôme BONAPARTE, Roi de Westphalie Il meurt en exil à Trieste en Italie, assisté par le prince Jérôme Bonaparte qui, sous ses ordres et sa surveillance, brûle, durant cinq heures, tous ses papiers, très compromettants pour lui et pour beaucoup Joseph BONAPARTE, Roi de Naples, Roi d’Espagne Relations cordiales Marie Julie CLARY, Reine consort de Naples et reine consort d’Espagne Relations cordiales Joséphine de BEAUHARNAIS, Impératrice, Reine Relations conflictuelles - Fouché a encouragé son divorce avec Napoléon Pauline BONAPARTE Relations cordiales Jean-Baptiste Jules BERNADOTTE, Militaire, Maréchal d'Empire, Roi Frappé par la loi du 12 janvier 1816 pour avoir tout à la fois voté la mort de Louis XVI et accepté une fonction pendant les 100 jours il s'exilera en Italie d'abord puis en Suède auprès de Bernadotte Germaine de STAËL, Écrivain, Intellectuelle Relations cordiales et proches - Indulgence de Fouché à son égard pour rendre l'exil imposé par Napoléon plus clément, mais cela se retournera contre lui Charles- Maurice de TALLEYRAND, Diplomate, Politicien Alliés de circonstance - Ami / ennemi en fonction des situations. Durant la guerre d’Espagne, tous deux complotèrent pour tenter de placer sur le trône Murat, beau-frère de l'Empereur, poussé par sa femme Caroline, comptant bien exercer en sous-main le pouvoir. Cette mascarade prend fin au retour de Napoléon. Fouché fut disgracié, Talleyrand s’en sortit provisoirement. Louis-Alexandre BERTHIER, Ministre de la Guerre Maréchal d'Empire Emmanuel de GROUCHY, Militaire Maréchal d'Empire François-Christophe KELLERMANN, Politicien, Militaire Maréchal d'Empire Charles Pierre AUGEREAU, Maréchal d’Empire Maréchal d'Empire Louis Charles Antoine DESAIX, Militaire Compagnons d'armes Michel DUROC, Militaire, Grand Maréchal du Palais de Napoléon I Compagnons d'armes Jean LANNES, Militaire Maréchal d'Empire Dominique-Jean LARREY, Chirurgien André MASSENA, Militaire Maréchal d'Empire Jean Victor MOREAU Frère d’armes et ami de Pichegru, Moreau fut enrôlé en 1804, dans le complot Cadoudal qui visait à éliminer Bonaparte et proclamer Louis XVIII sur le trône de France. Pichegru était chargé de prendre la tête du gouvernement, tandis que Moreau devait présenter le duc d’Enghien aux armées. Fouché déjoua le complot. Le duc d’Enghien et Cadoudal furent exécutés, Pichegru se suicida dans sa cellule. Ami de Moreau, Fouché à l’issue de son procès, l’aida à s’exiler aux États-Unis Michel NEY, Militaire Louis XVIII demanda à Fouché ministre de la police lui donner la liste des officiers accusés de traîtrise pour avoir rejoint Napoléon dans les 100 jours. Le premier nom fut celui de Ney. Fouché aurait alors donné à Ney un passeport pour fuir aux États-Unis, que ce dernier n’utilisa pas. Lors de son procès, Kellermann, Marmont, Chateaubriand votèrent sa mort. Wellington refusa sa grâce après l’avoir promis à son épouse. Il recula face aux complications Józef Antoni PONIATOWSKI, Militaire Maréchal d'Empire Jean RAPP, Militaire, Politicien Jean-de-dieu SOULT, Politicien, Militaire Maréchal d'Empire Louis-Gabriel SUCHET, Militaire Maréchal d'Empire Pierre Charles Silvestre de VILLENEUVE, Militaire Amiral LOUIS XVIII, Louis Stanislas Xavier de FRANCE, Roi de France et de Navarre Fouché sera frappé par la loi du 12 janvier 1816 pour avoir tout à la fois voté la mort de Louis XVI et pour avoir accepté un poste pendant les 100 jours. Il devra s'exiler hors de France Gabriel-Julien OUVRARD, Banquier Ensemble, ils fomentent un plan de paix avec les anglais à l'insu de Napoléon Georges CADOUDAL, Chouan, Maréchal de France à titre posthume Cadoudal s'opposa au Premier consul. Commandant des troupes royales de Bretagne, il se refugia en Angleterre suite de l’attentat de la rue Saint-Nicaise en 1800 commis par deux de ses officiers. En 1804, Cadoudal organisa un nouveau complot à Paris pour éliminer le Bonaparte La conspiration fut déjouée par Fouché, les conspirateurs furent arrêtés, aboutissant à l’exécution du duc d’Enghien, Pichegru fut retrouvé suicidé dans sa cellule, Moreau dû s’exiler aux Etats-Unis et Cadoudal fut guillotiné à Paris. Il fut fait Maréchal de France à titre posthume et sa famille anoblie par Louis XVIII Gilbert du MOTIER de La FAYETTE, Militaire En 1814, tandis que Lafayette se rallie au Bourbons, il participe avec Fouché à la déchéance de l’empereur Louis-Marie-Jacques-ALMARIC de NARBONNE-LARA, Militaire Bâtard de Louis XV, amant de Germaine de Staël. Napoléon le réintégra dans l’armée. En 1813, il fut envoyé comme ambassadeur à Vienne. Il s’arrêta à Prague en compagnie de Fouché pour mener les négociations avec Metternich. Il est probable qu’il soit le père biologique des deux fils de madame de Staël, Auguste et Albert. Il ressemblait physiquement énormément à Louis XV et n‘hésitait pas à faire savoir qu’il était son fils naturel Michel NEY, Militaire Louis XVIII demanda à Fouché ministre de la police lui donner la liste des officiers accusés de traîtrise pour avoir rejoint Napoléon dans les 100 jours. Le premier nom fut celui de Ney. Fouché aurait alors donné à Ney un passeport pour fuir aux Etats-Unis, que Ney n’utilisa pas. Lors de son procès, Kellermann, Marmont, Chateaubriand votèrent sa mort. Wellington refusa sa grâce après l’avoir promis à son épouse mais recula suites aux complications. Alexandre Ier appréciait beaucoup Ney Jean-Charles PICHEGRU, Militaire Professeur de mathématique de Napoléon à l’école militaire de Brienne, il participa à la guerre d’indépendance des États-Unis. Robespierre favorisa sa promotion. Général en chef des armées de Sambre-et-Meuse en 1795, il est l’ami de Moreau et des monarchistes. Il devient royaliste. Sa participation à la conspiration de Cadoudal qui planifiait un attentat pour éliminer Napoléon, le conduira à l’emprisonnement suite à une dénonciation et une arrestation par Fouché. Officiellement, il fut retrouvé suicidé dans sa cellule Georges CADOUDAL Cadoudal, général Chouan, avait organisé plusieurs attentats contre Napoléon. Le premier fut l’attentat de la rue Saint-Nicaise en 1800, le second fut un complot visait à éliminer Bonaparte et proclamer Louis XVIII sur le trône de France. Fouché déjoua le complot. Le duc d’Enghien et Cadoudal furent exécutés, Pichegru se suicida dans sa cellule et Moreau s’exila aux Etats-Unis. Louis XVIII fit Cadoudal Maréchal de France à titre posthume et anoblit sa famille à la restauration Anne Jean Marie René SAVARY En 1810, à la suite d'une nouvelle trahison de Fouché, qui engage à Londres des pourparlers de paix avec Wellesley par l'intermédiaire du banquier Ouvrard, le ministre est démis de ses fonctions. L’Empereur veut une police à ses ordres, et nomme son plus fidèle serviteur, le général Savary, commandant de la gendarmerie d'élite. Fouché sabotera son ministère avant de le lui transmettre. Maximilien de ROBESPIERRE, avocat, Homme Politique À la sortie du séminaire des Oratoriens, Fouché décida d’entrer dans la vie civile. Il pensa épouser la sœur de son ami Robespierre, Charlotte, avant d’opter pour Jeanne Coiquaud, la fille d’un riche marchand, mieux dotée. Ses relations avec Robespierre furent complexes. Ce dernier le missionna pour réprimer les soulèvements de Lyon puis le réprimanda pour sa cruauté. Fouché participa à la chute de Robespierre. Il le présenta tout comme Jean-Marie Collot d'Herbois, comme l’âme de la « dictature jacobine », imposant un régime de terreur. Jean-Jacques Régis de CAMBACÉRÈS, 2nd Consul, À la sortie de son séminaire des Oratoriens, lorsqu’il décide finalement d’entrer dans la vie civile, Fouché a pensé épouser la sœur de Robespierre, Charlotte avant de se raviser et d’opter pour Bonne-Jeanne Coiquaud, la fille d’un riche marchand, mieux dotée. Leurs relations étaient Étienne-Denis PASQUIER, Préfet de police Préfet de Paris de Paris, en 1812, Pasquier ne parvient pas empêcher le complot des généraux Malet et Lahorie, il est arrêté et conduit tout comme Savary à la prison de la Force, dont il ne sort que grâce à l'intervention du général Hulin. Malgré cet incident, il est maintenu en fonctions et sert Napoléon Ier avec zèle. Durant les Cent-jours, l'Empereur l’ignore. Sous la Seconde Restauration il est réhabilité et devient garde des Sceaux et ministre de l'Intérieur par intérim dans le cabinet Fouché-Talleyrand.