PP*V-Robespierre
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Apprenez à les reconnaitre. Vous découvrirez leurs noms en survolant avec votre souris sur les différents portraits

Jean-Charles PICHEGRU

Professeur de mathématique de Napoléon à l’école militaire de Brienne, Pichegru participa à la guerre d’indépendance des États-Unis. Robespierre favorisa à sa promotion. Général en chef des armées de Sambre-et-Meuse en 1795, il fut l’ami de Moreau et de monarchistes, ce qui le conduisit à devenir royaliste. Il participa à la conspiration de Cadoudal. Dénoncé et arrêté par Fouché il fut emprisonné. Officiellement, il sera retrouvé suicidé dans sa cellule

Joseph FOUCHÉ, Ministre de la Police

À la sortie du séminaire des Oratoriens, Fouché décida d’entrer dans la vie civile. Il pensa épouser la sœur de son ami Robespierre, Charlotte, avant d’opter pour Jeanne Coiquaud, la fille d’un riche marchand, mieux dotée. Ses relations avec Robespierre furent complexes. Ce dernier le missionna pour réprimer les soulèvements de Lyon puis le réprimanda pour sa cruauté. Fouché participa à la chute de Robespierre. Il le présenta tout comme Jean-Marie Collot d'Herbois, comme l’âme de la « dictature jacobine », imposant un régime de terreur.

Jacques NECKER, Politicien, Économiste

Robespierre fut élu, le 26 avril 1789, par l'assemblée électorale d'Artois, parmi députés du Tiers état. Après la réunion des députés des trois ordres de la province le 1er mai, il se rendit à Versailles où parmi ses premiers contacts, on compte Jacques Necker, qui le reçut à dîner chez lui en mai. Toutefois, le ministre, auquel il avait adressé de nombreuses louanges dans son mémoire, le déçut.

Suzanne  NECKER, Écrivain, Salonnière

Robespierre fut élu, le 26 avril 1789, par l'assemblée électorale d'Artois, parmi députés du Tiers état. Après la réunion des députés des trois ordres de la province le 1er mai, il se rendit à Versailles où parmi ses premiers contacts, on compte Jacques Necker, qui le reçut à dîner chez lui en mai. Toutefois, le ministre, auquel il avait adressé de nombreuses louanges dans son mémoire, le déçut.

Germaine de STAËL, Écrivain, Intellectuelle

Robespierre fut élu, le 26 avril 1789, par l'assemblée électorale d'Artois, parmi députés du Tiers état. Après la réunion des députés des trois ordres de la province le 1er mai, il se rendit à Versailles où parmi ses premiers contacts, on compte Jacques Necker, qui le reçut à dîner chez lui en mai. Toutefois, le ministre, auquel il avait adressé de nombreuses louanges dans son mémoire, le déçut.

Louis XVI, Roi de France

Robespierre fut élu par l'assemblée électorale accusateur public de Paris le 10 juin 1791, il venait de démissionner de sa charge de juge au tribunal de Versailles. Quelques semaines après, le 14 juillet, dans son discours sur la fuite du roi, prononcé devant l'Assemblée, il ne réclama pas le jugement de Louis XVI, mais se prononça en faveur de sa déchéance, puis se pour sa mort sans délai.

Gilbert du MOTIER de La FAYETTE, Militaire

Robespierre doutait de la capacité de l’Assemblée législative à préserver le pays d’une invasion étrangère aussi bien que d'une dictature militaire, se dessinant alors sous les traits de La Fayette, son pire ennemi.

Jean-Jacques Régis de  CAMBACÉRÈS, 2nd Consul,

Tous deux furent députés de la Convention. Cambacérès vota en faveur de l'arrestation des Girondins en juin 1793, puis pour la mise en accusation de Robespierre le 9 thermidor an II.

Georges Jacques Danton, avocat au Conseil du Roi, homme politique français, ministre de la Justice

Danton est une des figures majeures de la Révolution française, tout Robespierre, à qui tout l’oppose, le style, le tempérament et le type de talent.

Jean-Marie Collot d'Herbois, comédien, homme politique, député montagnard de Paris, membre du Comité de salut public

Jean-Marie Collot d'Herbois, le présenta de la même manière que Joseph Fouché et bien d’autres, comme l’âme de la « dictature jacobine », imposant un régime de terreur.

Paul BARRAS, Politicien, Directeur

Le 9 Thermidor an II, durant la séance houleuse qui précipite la chute de Robespierre à la Convention nationale, Robespierre et ses partisans sont arrêtés, puis libérés par les troupes de la Commune de Paris. Lors d'une séance vespérale tenue à la Convention, des collègues députés pressent Barras en tant que commandant de la force armée de Paris, de s’emparer de la personne de Robespierre.